VRAI ou FAUX

FAUX. Il s’agit plutôt de câbles électriques.

FAUX. Les propriétés de nombreux métaux changent lorsqu'ils sont exposés à de très basses températures. Ces changements se produisent dans la résistance, la ténacité, la fragilité et la durabilité. L'aluminium est connu pour maintenir ou même améliorer à la fois la ductilité et la ténacité à très basses températures. L’aluminium est résilient à basse température et il est donc le matériau idéal pour les ponts et passerelles dans le nord et pour les instruments et équipements qui voyagent dans l’espace. Cela est dû à une sensibilité négligeable à la température due à sa structure cristalline de type cubique à faces centrées (CFC) de l'aluminium. Cette structure CFC ne montre pas de transition ductile-cassante des matériaux, dont la structure cristalline est cubique centré (CC) ou cubique à corps centré (CCC) pour lesquels une fracture fragile à basse température peut subvenir. L’acier a une structure cristalline de type CCC et perd donc sa résilience par temps froid.

VRAI. D’où l’appellation encore utilisée aujourd’hui « or gris ».

VRAI. En contact avec un milieu contenant de l’oxygène, comme l’air et l’eau, il se crée une surface d’oxyde sur l’aluminium. Cette réaction, contrairement au cas du fer, conduit à la formation d'alumine sous forme d'une fine couche superficielle qui sert de tampon imperméable entre l'air et le métal. L'aluminium est ainsi autoprotégé. Si une éraflure en surface enlève la couche protectrice d’alumine, celle-ci se reforme en quelques heures protégeant à nouveau l’aluminium contre la corrosion. Même s’il se crée une barrière de protection naturelle sur l’aluminium, il existe tout de même des conditions qui rendent possible l’apparition de corrosion sur les pièces en aluminium. Il est alors primordial de connaître les types de corrosion et leurs mécanismes de propagation afin de prévenir les dommages dus à la corrosion.

VRAI. Les ingénieurs Nicholl et Barbicane, présidents du Gun Club, personnages de ce roman ont fabriqué l’obus habité par trois hommes qui a voyagé vers la lune en utilisant l’aluminium.

FAUX. Si on restreint les matériaux considérés à des alliages d’aluminium structuraux (ex : 6061-T6) et un acier doux (ex : A36), deux poutres identiques, c’est-à-dire ayant les mêmes dimensions, résisteront à la charge. Elles auront donc le même volume, et celle d’aluminium pèsera le tiers de celle en acier. Il s’agit donc d’une comparaison « à résistance égale »; c’est le cas où une poutre d’aluminium peut supporter le même poids qu’une poutre d’acier. On ne parle pas ici de la rigidité, ni d’une comparaison avec des aciers à haute résistance. Dans le cas d’une conception « à rigidité égale », soit où les déflexions sont les mêmes, une poutre d’aluminium sera 1.4 fois plus haute et pèsera la moitié d’une poutre d’acier.

VRAI. Les véhicules fabriqués avec de l’aluminium sont plus légers et donc consomment moins d’essence.

VRAI. En 1967, le styliste de mode Oscar de la Renta a réalisé un maillot de bain en aluminium et tissus synthétiques^[1].

FAUX. C’est au Québec que le premier pont autoroutier 100 % en aluminium a été construit. Inauguré en 1950, Le pont d'Arvida est un pont en arc qui traverse la rivière Saguenay à Saguenay. D’une portée principale de 91,50 m, il a été cité immeuble patrimonial en 2005 par la Ville de Saguenay.

FAUX. Le premier usage connu de l’aluminium dans le bâtiment remonte en 1884 et c’était plutôt la pointe au sommet du Monument de Washington qui était en aluminium. Du côté européen, le premier usage connu était pour la toiture de l’église San Gioacchino, à Rome, en 1897. Ce parement est toujours présent sur le dôme même s’il a causé à l’époque, la controverse parce qu’il s’inscrivait sur un bâtiment, une église où un style traditionnel s’imposait.